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26 novembre 2008 3 26 /11 /novembre /2008 09:13

Une mère élève seule son enfant. Un jour en rentrant du travail son fils a disparu. La police va entamer les recherches avec une certaine réticence. Plusieurs mois plus tard la police lui ramène un enfant mais elle va vite se rendre compte qu'il ne s'agit pas de son fils.

 

Tout d'abord c'est une histoire triste bien filmée mais les acteurs m'ont quelque peu déçus.

Voici Angelina Jolie dans un rôle dramatique. Je ne suis pas convaincu par sa capacité à endosser un tel rôle. La voir répéter à l'envie « It's not my son » est affligeant, elle ne vibre pas. Et il faudra m'expliquer comment maquillée comme elle est et pleurant des litres de larmes elle réussit à ce que son maquillage ne coule pas.

John Malkovich récite ses répliques d'un ton monocorde, il est comme absent. Il ne semble se réveiller que pour s'insurger contre les méthodes policières.

Par contre les personnages du capitaine Jones et du détective Ybarra sont nettement plus incarnés. Il est un peu dommage que des acteurs secondaires donnent l'impression d'être plus présents que les principaux.

Il est même regrettable que le film commence en disant que c'est « une histoire vraie ». Pourquoi le dire ? Eastwood n'y croit pas ?

 

Réalisé par Clint Eastwood

Avec Angelina Jolie, John Malkovich, Michael Kelly

Sortie: 12 novembre 2008

 

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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 22:49
Une petite bande-annonce d'un film qui me semble plutôt sympa. A voir juste pour passer un moment détendu.
Et ça rapellera des choses à certains ;)
Four Christmases, de Seth Gordon avec Vince Vaughn et Reese Whiterspoon.
Sortie le 31 décembre.
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25 novembre 2008 2 25 /11 /novembre /2008 08:14

Nash Tulsa, une sorte de croisement entre un tueur à gages et un chasseur de primes, lors d'une mission se retrouve confronté à l'enlèvement de sa fille. Il fera alors tout pour la retrouver car celle-ci porte dans son ADN un secret qui peut faire d'elle une arme ultime.

 

Nash décrit un monde futuriste où règne l'ultra technologie. Ca a de l'humour mais ça cherche à copier des BD qui en font mieux. Pour moi ce n'est pas très innovant : la manipulation génétique, faire de charmants bambins des machines à tuer (il y a déjà eu Le village des damnés). Cela reste distrayant mais sans plus.

 

Scénario : Pécau ; dessin : Damour ; design : Rueda

 

 

 

 

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 20:12

Le père de Charlie Babbit vient de mourir. Les deux hommes ne s'aimaient pas, ils ne s'étaient pas vus depuis très longtemps. Charlie apprend alors que c'est quelqu'un d'autre qui héritera de la fortune et de la maison de son père.

Il découvre l'existence d'un frère autiste: Raymond. Celui-ci vit dans une pension psychiatrique depuis des années et Charlie n'en avait jamais entendu parler. Il décide alors de l'enlever dans le but d'avoir la moitié de sa fortune.

Petit à petit, ils vont apprendre à se connaître et un vrai lien finira par s'établir entre eux.

 

 

Dustin Hoffman est vraiment incroyable dans ce film. Il a un rôle difficile qu'il joue à la perferction, c'est impressionnant.

 

Il est intéressant de voir évoluer le regard de Charlie sur son frère. Malgré ses a priori, Charlie va réussir sans le vouloir à l'attendrir et à lui faire comprendre que sa maladie ne fait pas de lui un être à rejeter.

Ce qui est au début un genre d'enlèvement va devenir une histoire d'amitié.

 

 

Réalisateur: Barry Levinson

Acteurs principaux: Dustin Hoffman, Tom Cruise

Sortie: 1988

 

 

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24 novembre 2008 1 24 /11 /novembre /2008 08:35

Alors comme on n'avait pas tous les ingrédients pour réaliser des palets de dames, il fallu improviser. Notamment pour le glaçage, plutôt que d'en faire au sucre j'en ai fait un au chocolat.

Pour les palets de dames il faut:
125 g de beurre
150 g de sucre en poudre
150 g de farine
2 oeufs
80 g d'amandes en poudre

Pour les préparer, mélangez le sucre les oeufs, la farine, la poudre d'amandes. Disposez sur une plaque recouverte de papier sulfurisé en petits tas ( si lors de la cuisson les tas ne forment plus qu'un ce n'est pas  grave, cela m'est arrivé, au lieu d'en avoir plein de petits  vous en aurez un grand). Enfournez  à une température de 180° et laissez jusqu' à ce que les bords commencent à roussir ( 10 à 15 minutes). Sortez les  et laissez les refroidir.

Pour le glaçage il faut 100 g de chocolat à fondre et 50 g de beurre. Dans une casserole faites fondre les deux et recouvrez en les palets quand ceux ci ont refroidi.


(Vous avez vu le gateau a fait un coeur comme pour rappeler le 16 novembre.)

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 11:04

Voilà le thème des photographes du dimanche de cette semaine.

On a réfléchi (beaucoup), nous sommes plutôt partis sur l'imagination...et on a quelques photos à vous proposer.

 

Tout d'abord, une photo faite par Chiwi.

 

 

Puis une photo faite samedi matin, avant l'arrivée de la neige: un petit rayon de soleil.

 

 

Et enfin, voici Krom....hahaha.

Le connaissez-vous?

Krom est le dieu de Conan (hé oui, dès qu'il se passe quelque chose, Conan s'écrie : "Par Krom!"). Il est chez nous incognito, il se fait d'ailleurs appeler Franky...ici, il a été capturé par Hasbarak.

Faites attention, il peut toujours s'échapper et ses pouvoirs sont incommensurables!

 

 

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 10:00

Hier un homme est mort dans le bois de Vincennes à Paris. Cause du décès: le froid. Merci amis journalistes pour cette information. Moi je dirais plutôt que la cause de sa mort est la pauvreté, la précarité, l'exclusion.

Merci amis journalistes  de vous déresponsabiliser, de nous déresponsabiliser, de déresponsabiliser nos dirigeants. Il est vrai que l'on ne peut pas faire grand chose contre le froid.

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23 novembre 2008 7 23 /11 /novembre /2008 09:55

Pour la semaine à venir je mets Joe Strummer and the Mescaleros avec la reprise de Bob Marley, Redemption Song. L'album contenant cette chanson est sorti en octobre 2003 après la mort de Strummer en 2002. Je trouve que cette chanson a une intensité aussi égale que l'originale.

Moi je vous mets "Ain't no sunshine" de Al Jarreau. Cette chanson est tellement intense qu'elle me fait des frissons sur les bras, c'est vraiment un délice à écouter.

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22 novembre 2008 6 22 /11 /novembre /2008 09:44

En Irak des espions luttent contre le terrorisme. Ils sont à la recherche d'un groupe qui a perpétré des attentats en Europe. Dans leur s recherches ils vont devoir s'allier aux services de renseignements syriens.

 

« Il n'y a pas d'innocents », c'est la phrase qui peut résumer la mentalité du film, et cela que ce soit du côté occidental ou du côté des terroristes.

C'est un film d'espionnage de facture classique même si certains éléments donnent un sentiment d'actualité. Alors on y trouve ce qu'il faut en coups tordus, en tortures et en trahisons. Mais on peut ajouter le réalisme, la violence dans les rapports psychologiques.

Di Caprio et Crowe forment un couple intéressant. Russel Crowe est à baffer avec sa bedaine de bon père de famille dédaigneux qui sauve le monde depuis son salon. Di Caprio est une plaie ambulante ( combien de litres de sang a-t-il pu perdre ?), un bon petit agent de renseignement dont les remords vont vite surgir et cela ça sera à ses risques et périls.

Réalisé par Ridley Scott

Avec Leonardo Di Caprio, Russell Crowe, Mark Strong

Sortie: 5 novembre 2008

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21 novembre 2008 5 21 /11 /novembre /2008 19:35

Joey Drayton prépare une surprise à ses parents: elle revient à l'imprévu à San Francisco pour leur présenter son fiancé. John Prentice est un brillant médecin et a été séduit par la jeune femme, il ont donc décidé de se marier le plus rapidement possible. Ils décident donc d'avoir l'accord des parents de Joey le soir même, le médecin devant repartir le soir même.

Le seul problème: John Prentice est noir. Nous sommes à la fin des années 60 et la mixité est encore mal acceptée, sa seule peur est donc la réaction des parents de Joey.

 

Après avoir été mis au courant, les parents de Joey vont avoir deux réactions différentes: sa mère, après un moments de choc va être contente pour sa fille. le père a quant à lui un peu plus de mal.

Les parents de John Prentice sont alors également invités à dîner, les mêmes réactions que celles des parents de Joey sont rencontrées chez ceux-ci quand il voient la fiancée de leur fils: la mère accepte plutôt facilement et le père a des réticences, même schéma.

Au fur et à mesure de la soirée, les idées des deux pères, et surtout de celui de Joey, vont évoluer. Il va finir par leur dire que peu devait leur importer l'avis des autres, ils ne devaient écouter que leur amour tout en étant conscient que leur situation allait être difficile à cause du fait qu'ils formaient un couple mixte.

 

 

Ce film de 1967 pourrait toujours être d'actualité: pour certaines personnes il est encore difficile d'accepter les différences de religion, de couleur, d'origine.

Il prône le respect et l"ouverture aux autres, tout ce finissant bien. 

 

Et petit clin d'oeil: à un moment le père de Joey et John discutent. Le père demande comment Joey voit la situation pour leurs futurs enfants, la réponse est du genre: "elle croit que chacun de nos enfants deviendra président des Etats-Unis".

Moi qui ai découvert Spencer Tracy et Sidney Poitier (merci Chiwi pour la culture cinématographique), je peux dire que je les ai beaucoup aimés.

 

Le seul reproche: il y a beaucoup de dialogues, qui peuvent devenir un peu long à la fin et qui tournent un peu en rond. Les dialogues entre John et son et entre John et son beau-père sont un peu répétitifs, ils disent à peu près les mêmes choses.

 

Voilà, toute petite remarque face à un film qui a peut-être fait quelques remous lors de sa sortie (je n'ai rien trouvé là dessus mais j'imagine) et dont l'idée a été reprise de nombreuses fois? Là je pense par exemple à Just a kiss ou à Mauvaise foi, ce qui montre encore l'actualité de ce film qui a pourtant été tourné il y a 40 ans.

 

Réalisateur: Stanley Kramer

Acteurs principaux: Spencer Tracy, Sydney Poitier, Katharine Hepburn, Katharine Houghton

Sortie: 1967

 

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