Voilà le Chiwi n'est pas un fan des messes, que ce soit pour un mariage, une communion ou un baptème. Depuis que je suis avec Cachou j'ai dû y aller plusieurs foiset ce n'est pas fini.

Bon je reste sage, je ne dis rien, je ne fous pas le souk (pourtant ça serait pas l'envie qui manque) parce que bon ce que dit le prêtre est d'une profondeur, d'une vérité (tu viens d'où mec? le monde n'est qu'amour? tu es déjà sorti de chez toi?).

Donc pour passer le temps je repense à cette vidéo.

Rien à dire, juste à regarder et à savourer.

Et si vous voulez, il y a plein d'autres videos de Maru sur youtube!

"Good work soldier!"

Après Battlefield 1942, il fallait passer la vitesse supérieure. BF 2 est sans conteste LE jeu de guerre. Bien sûr il n'y pas de mission balisée à la Medal Of Honor. Car le jeu n'est qu'une préparation au jeu en ligne. Il y a juste des cartes qu'il faut conquérir, avec un système de points de réapparition et de tickets déjà vu dans le précédent opus.

Trois factions sont disponibles : les classiques Marines U.S., les chinois (les russes n'ont plus la cote comme grande puissance) et une coalition moyen-orientale.

Une fois le choix fait, il faut choisir son type de soldat. Il y a plus de catégories que dans BF 1942: sniper, forces spéciales, soutien, fantassin, médecin, sapeur, antichar.

Les cartes permettent d'avoir une grande diversité de matériel : hummer, char, avion de chasse, hélicoptère. Mais il est dommage qu'aucune carte sans véhicule n'ait été prévue, il a fallu en télécharger. Parce que, quand tous les types de véhicules sont sur la carte, c'est intense. Et par là on peut que reconnaître le travail important des concepteurs pour faire coller le jeu au plus près de la réalité.

Les bots sont toujours aussi cons et il n'est pas rare de se voir tuer par un tir ami.

Jack Carver, patron d'un voilier est embauché par une jeune femme qui veut visiter des îles dans le Pacifique. Mais à proximité de l'une d'entre elles le bateau se fait attaquer à la roquette. La fille disparaît et Jack se retrouve KO sur une île.

Voilà comment ça commence. Le scénario n'est pas très évolué, mais d'un autre côté ce n'est qu'un FPS. Donc à partir de là avec l'aide à distance d'un inconnu, il va falloir balader d'île en île pour retrouver la fille. Mais il va falloir faire face à des mercenaires peu amicaux et d'autres réjouissances encore moins amicales.

La progression alterne entre grandes îles paradisiaques et laboratoires linéaires. Ce qui est innovant c'est la possibilité d'atteindre les objectifs comme on veut. Pour aller chercher un document dans un camp de mercenaires, on peut choisir entre la manière bourrin en rentrant dans le tas ou plus subtile en éliminant les gusses de manière silencieuse. Mais bon le choix n'est pas toujours possible, il faut alors prendre l'arme la plus grosse et on on avance.

Les 20 niveaux ne reflètent pas une difficulté croissante, ce qui m'a quand même étonné, et n'ont pas tous une longueur égale, mais en gros il faut une heure à une heure trente pour chacun quand on veut faire ça proprement.

FarCry est graphiquement beau, il y a un véritable effort pour rendre l'action encore plus réaliste. Les mercenaires se mettent à couvert quand on leur tire dessus, envisagent de sommaires tactiques d'approche, ou pêchent quand il ne se passe rien. Pour moi c'est un titre ancien mais qui vaut le coup, juste pour pouvoir de défouler.

Hier j'ai regardé Les Experts. Ça faisait longtemps que je n'avais plus suivi. Bien sûr je savais que trois des personnages historiques avaient disparus: Grissom, Warrick et Sara.

De nouveaux enquêteurs sont arrivés. Mais je trouve que cela change l'esprit de la série.

J'appréciais de trouver des acteurs quasi inconnus, William Petersen a fait un bref passage au ciné dans Le Sixième Sens de Michael Mann, Marg Helgenberger fait une apparition dans Bad Boys, Gary Dourdan a un second rôle dans Alien 4.

La série m'avait impressionné par la précision scientifique, avec chaque épisode on pouvait apprendre quelque chose. Bien sûr en comparaison avec d'autres séries policières CSI avait une tonalité assez glauque, sombre.

Là j'ai bien l'impression que c'est fini. Les deux épisodes d'hier ne m'ont pas semblé originaux. Ray Langdon, interprété par Laurence Fishburne, ne semble pas avoir la carrure d'un Grissom, qui était un puits de science. Les citations de Shakespeare vont me manquer.

L'ambiance semble même être détendue, comme si avaient disparu des éléments pouvant empêcher d'avoir une bonne ambiance.

Peut être que des gens vont apprécier mais moi ça me laisse un drôle de goût. Juste la fin d'une époque.