25 juin 2008
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Voilà, dernière partie sur Amboise et le Clos Lucé. Celle-ci sera entièrement consacrée à Amboise.
Le château d'Amboise date du XIIIe siècle, plusieurs rois avant François Ie y sont donc passés,
Charles VIII et Louis XII ont été les deux personnes qui ont le plus agrandi et embelli le château.
François Ie y passera son enfance puis loge Léonard de Vinci au Clos Lucé. Un souterrain permettra aux deux habitations de communiquer entre elles.
A son apogée, le château était immense, de grandes fêtes s'y déroulaient.
De nos jours il ne reste plus qu'une toute petite partie de celui-ci, ce qui est bien dommage parce que du coup ça n'en fait pas l'un des châteaux les plus intéressants de la Loire (enfin, c'est mon avis personnel).
Alors, voilà quelques photos en vrac:
Tout d'abord le château et les jardins.
Et maintenant la chapelle dédiée à Léonard de Vinci, dans laquelle se trouve son tombeau.
Je la trouve tellement belle cette chapelle, je trouve que la minutie des gravures est impressionnante.
Sinon, note pour moi-même: la prochaine fois, ne pas oublier que quand on met des photos dans l'album, elles sont énnnnnnooooooooooooormes!
Published by cachou et chiwi
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16 juin 2008
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Voilà, retour de ma carte SD donc retour de mes posts sur la classe de découverte...
Donc la suite: le jardin du clos Lucé.
Dans ce jardin, certaines inventions de Léonard de Vinci ont été construites. Certaines des oeuvres de Léonard ont été reproduites sur des toiles géantes et placées dans les arbres. C'est un parc vraiment magnifique.
Ici, l'hélice, qui est censée ressembler à une hélice d'hélicoptère (personnellement, je n'ai pas su faire le rapprochement Oo).
Voici deux des "machines de guerre" inventées par Léonard de Vinci: le char d'assaut et le canon.
Et quelques-unes des toiles reproduites dans les arbres et sur les murs à cacher.
En fait, ce sont deux toiles et une recherche.
Moment bucolique, un petit ruisseau....
Et puis, à part les machines de guerre, il a aussi créé des ponts (qui étaient
amovibles pour pouvoir laisser passer les bateaux, héhé)
Voilà pour Léonard de Vinci. Si un jour vous passez par là-bas, vraiment je vous conseille d'aller y jeter un petit coup d'oeil!
Edit: vraiment n'importe quoi over blog...désolée pour la mise en page, ça ne me fait pas ça du tout quand je publie l'article. Encore un mystère à élucider....
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4 juin 2008
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16:49
Petit retour sur mon escapade d'une semaine: nous avons entre autres visité Amboise et le clos Lucé.
Le clos Lucé, c'était vraiment génial. C'est la dernière demeure de Léonard de Vinci, il y a passé les trois dernières années de sa vie. Elle a été construite pour lui par François Ier, un sous-terrain reliait d'ailleurs le château d'Amboise et le clos Lucé, preuve que le roi apportait un grand intérêt à Léonard de Vinci qui était non seulement un artiste dont il était le mécène mais également un de ses grands amis.
Cette maison est magnifique, la visite guidée est bien faite: c'est Mathurine, servante de Léonard de Vinci, qui nous explique ce qui se passait dans chaque pièce et nous raconte la vie du savant (d'ailleurs, il y en a qui ont vraiment cru qu'elle revenait du XVIe pour nous faire la visite ^^).
Voici donc le clos Lucé lui-même
Et quelques détails de celui-ci
Prochains articles sur le sujet: le jardin du clos Lucé et le château d'Amboise.
Published by cachou et chiwi
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3 juin 2008
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Jean-Auguste-Dominique Ingres est un peintre français du XIXe siècle (1780-1867). Il entre à l'Académie de Toulouse à 9 ans où il sera formé par David.
En 1806, il découvre Raphaël et le Quattrocento (le début de la Renaissance), ce qui va beaucoup marquer son style.
A la chute de Napoléon Ie, il connaîtra une période difficile mais sera directeur de l'Académie de France à Rome de 1835 à 1840.
Ce que l'on connaît le plus de ce peintre, ce sont ses portraits qui dépeignent la société bourgeoise de son temps et bien sûr les fameuses odalisques.
Personnellement, ce que j'aime chez Ingres c'est la finesse de son trait qui semble donner vie aux personnages. Je trouve que ce qu'il fait est vraiment réaliste mais sans être trop rugueux, il arrive à donner une certaine douceur à ce qu'il peint (heu...vous voyez ce que je veux dire?). Ils ont un regard tellement transperçant, on a vraiment l'impression qu'ils ont quelque chose à nous raconter, qu'il y a une histoire derrière chacun d'eux.
Parmi mes tableaux préférés se trouve l'un des plus connus:
La Grande Odalisque
Mais aussi le Bain Turc (j'aime beaucoup la lumière qui se dégage de ce tableau)
ou encore Raphaël et la Fornarina
Sinon, petite anecdote sur Ingres: pendant longtemps j'ai cru que c'était un peintre Espagnol et donc je l'appelais "Ingrès" en prononçant bien le i et le s. Ca n'est qu'il y a 3-4 ans, en visitant un musée (celui de Cambrai??) avec Chiwi que je me suis rendue compte que j'avais faux sur toute la ligne. En tous cas ça a bien fait rire quelqu'un...
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27 mai 2008
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23 mai 2008
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Il dessine très tôt. Il est intéressé par l'architecture et le paysage topographique. Ses préférences resteront présentes dans on œuvre.
En 1802, il est élu à la Royal Academy. Il devient alors le plus jeune peintre à être élu au sein de l'Academy. Sa réputation et le prix de ses tableaux augmentent rapidement. De nombreux nobles le soutiennent dans son travail ainsi que des industriels et des marchands fortunés.
Le pelerinage de Childe Harold, Italie , 1832
En 1807 il devient professeur à la Royal Academy, qu'il quittera rapidement car il ne supportera pas les luttes de pouvoir.
Il voyagera beaucoup notamment en Angleterre, en Ecosse, en Italie, en France et en Allemagne.
A la fin de sa carrière il accentuera son travail de recherche sur la lumière. Le public ne comprendra pas ses tableaux, préférant les précédents qui étaient nettement plus figuratifs.
L'influence de Turner se fait ressentir tardivement, vers 1870, sur Monet, Pissarro et sur le mouvement impressionniste en général.
Esclaves jettant par dessus bord les morts et les mourants
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14 mai 2008
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Selon les Mésopotamiens, le monde est divisé en trois parties: AN, le domaine des cieux; APSU, celui des eaux douces et au milieu le radeau sur lequel se trouvent les êtres humains.
Le poème de la création raconte que Marduk, Dieu créateur, a dû se battre contre Tiamat -puissance divine représentant l'eau salée pour créer la "Terre". Marduk ayant réussi à battre sa concurrente, il fabriqua le monde avec, une partie formant la voûte céleste et l'autre la terre.
Ses yeux sont devenus les sources de l'Euphrate et du Tigre, ses mamelles les montagnes de Mésopotamie et sa tête les montagnes de Turquie.
Comme toutes les civilisations antiques, les Mésopotamiens avaient un panthéon de Dieux auxquels ils croyaient et vouaient un culte.
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9 mai 2008
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La civilisation mésopotamienne (basée dans ce que l'on pourrait maintenant considérer comme l'Irak, en gros entre le Tigre et l'Euphrate) est assez impressionnante dans le sens où, quand on l'étudie, on a l'impression que plein de choses découlent de là. Ils ont notamment inventé des croyances que l'on retrouve plus tard dans l'histoire.
Premier volet, comme vous avez pu le voir: le cunéiforme.
A la base, les éleveurs mésopotamiens -lorsqu'ils vendaient des bêtes à des personnes éloignées- utilisaient des boules dans lesquelles étaient insérés des jetons qui permettaient de voir combien de bêtes devaient arriver à bon port. Petit à petit, ils ont commencé à dessiner sur ces boules pour pouvoir être mieux compris. Ces dessins se sont ensuite transformés en écriture de plus en plus construite. Et de fil en aiguille, vous l'aurez compris, ces boules ont été aplaties, ce qui a donné les tablettes. C'était certainement plus pratique pour écrire (bein oui, imaginez le truc...).
Pourquoi appelle-t-on cette écriture le cunéiforme?
Tout simplement parce que les mésopotamiens écrivaient avec des roseaux taillés (le calame), ce qui donnait la forme de clous à chaque caractère.
Cette écriture s'est ensuite compléxifiée, comme un peu toutes les écritures je crois.
Ce qui donne à peu près ceci au début:
(Je sais, on ne voit pas grand chose mais j'ai fait de mon mieux, promis)
Biz'
Cachou
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