Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
10 mai 2008 6 10 /05 /mai /2008 09:35

Bien sûr tout le monde en a entendu parler lorsqu'il est sorti, donc doit savoir à quoi s'attendre. C'est graveleux, lourd, irrévérencieux mais c'est pour la bonne cause.

Envoyé par son gouvernement pour apprendre les manières de vivre des américains, Borat va découvrir le mode de vie de l' Amérique.

Alternant passages documentaires et passages plus filmés, on découvre des perles.

La façon de voir les juifs est délirante, irréaliste : tombant dans un bed and breakfast tenu par de petits vieux juifs, il se voit déjà égorgé et ne dormira pas de la nuit, il jettera même des billets à deux cafards croyant que ceux-ci sont ses hôtes transformés. Pour un texan les juifs sont à l'origine des attentats du 11 septembre.

La découverte du féminisme le laissera pantois, les femmes qu'il rencontre ne chercheront pas à le convaincre, elles préféreront quitter la conversation.

Des manifestations contre la maltraitance des animaux le laissent pantois.

Il est amusant de voir les gens se faire avoir en croyant se faire interviewer par un vrai journaliste kazakh : un député dégustera sans le savoir du fromage fait à partir du lait de la femme de Borat.

Sincèrement c'est un film à revoir car je ne crois pas qu'on puisse tout appréhender en une seule fois.

Infos sur le film

Réalisé par Larry Charles
Avec Sacha Baron Cohen, Ken Davitian, Pamela Anderson
Sortie : 15 novembre 2006


Chiwi
Partager cet article
Repost0
9 mai 2008 5 09 /05 /mai /2008 21:04

La civilisation mésopotamienne (basée dans ce que l'on pourrait maintenant considérer comme l'Irak, en gros entre le Tigre et l'Euphrate) est assez impressionnante dans le sens où, quand on l'étudie, on a l'impression que plein de choses découlent de là. Ils ont notamment inventé des croyances que l'on retrouve plus tard dans l'histoire.

Premier volet, comme vous avez pu le voir: le cunéiforme.
A la base, les éleveurs mésopotamiens -lorsqu'ils vendaient des bêtes à des personnes éloignées- utilisaient des boules dans lesquelles étaient insérés des jetons qui permettaient de voir combien de bêtes devaient arriver à bon port. Petit à petit, ils ont commencé à dessiner sur ces boules pour pouvoir être mieux compris. Ces dessins se sont ensuite transformés en écriture de plus en plus construite. Et de fil en aiguille, vous l'aurez compris, ces boules ont été aplaties, ce qui a donné les tablettes. C'était certainement plus pratique pour écrire (bein oui, imaginez le truc...).

Pourquoi appelle-t-on cette écriture le cunéiforme?
Tout simplement parce que les mésopotamiens écrivaient avec des roseaux taillés (le calame), ce qui donnait la forme de clous à chaque caractère.
Cette écriture s'est ensuite compléxifiée, comme un peu toutes les écritures je crois.

Ce qui donne à peu près ceci au début:



Et cela par la suite:


(Je sais, on ne voit pas grand chose mais j'ai fait de mon mieux, promis)

Biz'
Cachou

Partager cet article
Repost0
8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 19:04

Aujourd'hui, pas d'article construit. Juste une envie de glandouillage.

J'ai fini de préparer ma semaine jusque vendredi prochain: Louka est prévu pour le 14, alors au cas où...
Mais qui est ce Louka dont je vous ai parlé plusieurs fois?
C'est le bébé de ma p'tite soeur, le premier petit-enfant de la famille. Jusqu'ici, je n'arrivais pas trop à m'imaginer qu'il allait arriver mais là, ça devient imminent quand même, j'ai hâte de faire cette nouvelle rencontre...


A part ça: soleil je t'aime!!!!!!!!!!! Se balader dans les rues de Lens -qui sont moches pour la plupart mais bon, c'est toujours un peu de chaleur en plus....sans jardin, on peut pas faire grand chose d'autre, faire du shopping...
D'ailleurs, en parlant de shopping, j'ai trouvé une mercerie troOop bien. J'en cherchais une depuis longtemps alors qu'elle se trouvait devant mon nez (c'est-à-dire devant le auchan de Noyelles, je sais, ça le fait pas trop comme ça mais il ne faut pas s'y fier). Plein de tissus, des rubans, des trucs et des bidules. Le genre d'endroit que j'aime bien.

Voilà, j'ai commencé le cadeau de fête des mères de ma maman (tant qu'à faire), je crois que ça devait lui plaire.

J'aime bien papoter comme ça pour ne rien dire....(je devrais en faire ma devise tiens!)

Biz'
Cachou.

Partager cet article
Repost0
8 mai 2008 4 08 /05 /mai /2008 09:34

Après Taxi driver, voici une nouvelle collaboration entre Scorsese et De Niro.

Adapté du roman autobiographique de Jake La Motta, Raging Bull retrace la vie de ce boxeur.

De ses premiers combats jusqu' à sa déchéance sportive et familiale, on découvre un personnage détestable. Il est macho, jaloux, violent. Il n'hésite pas à cogner sa femme qu'il soupçonne de le tromper.

Il ne respecte pas ses adversaires. Ayant perdu son titre de champion du monde face à Sugar Ray Robinson, La Motta n'hésite pas à aller le narguer en lui rappelant que lui n'était jamais allé au tapis.

On peut remarquer la prise de poids de De Niro  nécessaire pour incarner La Motta vieillissant : il a pris 30 kgs. il est alors très difficile à reconnaître.

Je ne pense pas que ce soit le meilleur film de Scorsese que j'ai pu voir. Les protagonistes de ses films de gangsters étaient, d'une certaine manière, compréhensibles. La Motta détruit tout ce qui l'entoure, il n'est qu'une machine à taper. Je ne sais pas trop quoi penser de ce film. Les combats même s'ils sont bien filmés paraissent ennuyeux car on n'est pas avec La Motta, on ne sent pas impliqué.

 

Infos sur le film

Réalisé par Martin Scorsese

Avec Robert De Niro, Joe Pesci, Cathy Moriarty, Frank Vincent

Sortie : 1980

Partager cet article
Repost0
7 mai 2008 3 07 /05 /mai /2008 10:19

Parfois, on farfouille dans la blogosphère et en tombant sur un blog sympa, on se retrouve à entendre une musique qui nous plaît. Du coup, on l'écoute de plus près. (Ici, c'était "jeune, je ne savais rien")
Bien sûr je connaissais "J'aime plus Paris", de ce chanteur. Mais je m'étais dit que c'était juste bien, sans être génial.
Là je suis un peu revenue sur mes positions. J'aime le fait que ça swingue, que ça bouge. J'aime aussi les paroles bien trouvées.
Il faut dire que le garçon a de qui tenir, comme dirait chiwi.

Je cherche, je cherche, et il n'y a qu'un seul clip: celui de la chanson ultra connue citée ci-dessus. Or moi je suis tombée amoureuse de "comme un manouche sans guitare"....ha, et puis, ses musiques sans paroles sont géniales aussi.
Bon, je précise que je n'ai pas écouté tout le CD donc je ne sais pas trop ce que le reste donne.

Hop hop, je vous la mets quand même cette video.

Bon, le vrai clip laggue à mort donc je vous mets la capture qui a été faite lors de la fête de la musique.



Biz'
Cachou
Partager cet article
Repost0
6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 19:16

Deux jeunes femmes, l'une à Los Angeles, l'autre dans la banlieue londonienne, ont le coeur brisé. Elles décident d'échanger leurs maisons pour deux semaines, ce qui va les amener à remettre en cause leurs visions de l'amour. Chacune va trouver ce qui lui manque à sa façon.

Ce film, l'air de rien, se fait une bonne place dans ce que l'on pourrait appeler les comédies romantiques à l'anglaise. Il montre bien l'attirance que peuvent avoir les femmes pour les histoires compliquées....et parfois leur don pour s'y embourber.
Le jeu des quatre acteurs principaux est bien tourné. Cameron Diaz est détonante, comme d'habitude. Jack Black m'a surprise, je ne le connaissais (il me semble) qu'à travers "Be kind, rewind" où il était plutôt farfelu et totalement déjanté. Ici, on le voit sous un autre jour qui lui va également très bien. Jude Law....charmant, on ne va pas en dire plus (mais on n'en pense pas moins, n'est-ce pas?).

Infos sur le film:
réalisateur: Nancy Meyers
acteurs: Cameron Diaz, Jack Black, Jude Law, Kate Winslet
sortie: décembre 2006

http://culture.froggytest.com/modules/xoopsgallery/cache/albums/albup24/The_holiday.jpg
Partager cet article
Repost0
6 mai 2008 2 06 /05 /mai /2008 08:17

Ce roman, publié en 1934, est largement autobiographique. Henry Miller y raconte la vie d'un écrivain américain à Paris nommé Henry Miller.

A travers ce récit Miller nous montre une vision négative de l'humanité entre autres.

Ses expériences sexuelles sont fréquentes, à la limite de l'obsession. Les descriptions de ses rapports avec des prostituées sont faites d'une manière crue, on pourrait presque y voir un érotisme malsain. Il est alors facile de comprendre pourquoi le livre a été censuré aux Etats-Unis.

Le rapport de Miller avec le travail est tendu. Il ne travaille quasiment pas, il préfère vivoter, taper ses compagnons. Lorsqu'il travaille il songe aussitôt à le quitter. Dans la réalisation des missions , il y a comme un « jemenfoutisme ».

Miller ne pense qu'à mener la grande vie avec le peu de moyens qu'il a: femmes, alcool, gueuletons. 

J'ai retenu quelques citations pour pouvoir  cerner l'ambiance et aussi le personnage.

 

« Un homme peut fort bien se mettre à aimer la merde si sa vie en dépend, si son bonheur est en question. »

 

«  Nous somme devenus si adaptables, que si demain on nous disait de marcher sur les mains, nous le ferions sans protestation. Pourvu, naturellement, que le journal sortît comme d'habitude. Et que nous touchions notre salaire régulièrement .»

 

«  Quand j'abaisse les yeux vers cette vulve de putain tant de fois bourriquée, je sens le monde entier sous mes pieds, un monde branlant et croulant, un monde usé jusqu'à la corde et poli comme le crâne d'un lépreux. S'il y avait un homme qui osât dire tout ce qu'il a pu penser de ce monde, il ne lui resterait pas un pouce carré pour s'y tenir. Quand un homme apparaît, le monde l'écrase et lui rompt l'échine. Il reste trop de piliers pourris debout, trop d'humanité infectée pour que l'homme puisse fleurir. La superstructure est un mensonge, et la fondation une énorme peur haletante. »

 

«  Les être humains font une faune et une flore étranges. De loin, ils semblent négligeables ; de près, ils paraissent volontiers laids et malicieux. Plus que toute autre chose, ils ont besoin d'avoir de l'espace en suffisance- de l'espace encore plus que du temps. »

Partager cet article
Repost0
5 mai 2008 1 05 /05 /mai /2008 19:34

 

Alors voilà, parce que sous le soleil, c'est bien de se détendre avec un peu de lecture pas prise de tête, voici une BD bien tournée et qui en met plein les mirettes.
Maliki est à la base un strip (comprendre petite histoire en quleques cases) qui est édité tous les mardi sur
 CE blog. Ces strips racontent la vie d'une jeune dessinatrice qui a dû quitter Paris pour venir habiter à Roubaix (bein voui, c'est comme ça, il n'y a que là qu'on trouve les stuios Ankama, héhé) et de ses chats -un peu démontés, il faut le dire.
L'album est en fait un regroupement de ceux qui ont été considérés comme les meilleurs strips.
cette BD s'intitule "Maliki broie la vie en rose", elle refléte bien l'humour qu'on peut retrouver toutes les semaines sur le site et est un vrai petit rayon de bonheur.


La couverture de l'album:

http://www.chaplum.com/wp-content/uploads/2009/08/maliki-volume-1.jpg

Biz'
Cachou

ps: ha oui, j'allais oublier, le prochain tome sort début juillet, pour ceux que ça intéresserait....

Partager cet article
Repost0
5 mai 2008 1 05 /05 /mai /2008 08:38

Quand la rumeur se répand que le roi Henry VIII ne partage plus la couche de la reine Catherine, qui n'est plus capable de lui donner un héritier mâle, Sir Thomas Boleyn décide de gagner la faveur royale grâce à sa fille aînée, Anne. Mais son projet est contrarié lorsque le roi s'intéresse à son autre fille, Mary.

Ce film est l'adaptation d'un roman de Philippa Gregory est une retranscription crue et dure d'une époque où les femmes étaient peu considérées. En effet les femmes sont considérées comme du bétail pour assurer l'ascension sociale de la famille. Henry VIII se jette sut tout ce qui bouge pourvu que cela soit une femme, un tel comportement est à la limite de la prédation sexuelle.
Une distance entre le comportement de la noblesse et des personnages de haut rang par rapport aux préceptes de la religion. L'adultère royal est pleinement assumé, il est de notoriété publique voire même alimenté par les nobles.

Au delà de l'aspect historique, le film raconte une opposition entre deux soeurs: l'une a une ambition dévorante et dévastatrice pour la famille, l'autre est pleine de dévouement et de bonté.

Pour finir , Scarlet Johansson, on le savait déjà, est une grande actrice.

Infos sur le film

Réalisé par Justin Chadwick
Avec Natalie Portman, Scarlet Johansson, Eric Bana
Sortie : le 2 avril 2008



Cachou et Chiwi

Partager cet article
Repost0
4 mai 2008 7 04 /05 /mai /2008 18:41

La petite recette de la semaine:
tartinettes au saumon grillées, recette inaugurée en Bretagne par la maman de Chiwi.

Donc, deux varaiantes de cette recette ultra rapide et très très bonne.

Première variante:
la tartinette saumon-muscade-gruyère:
prenez une grande tranche de pain, posez-y une ou deux tranches de saumon. Recouvrez le tout d'une petite couche de crème fraîche puis saupoudrez de noix de muscade et enfin parsemez le tout de gruyère râpé.
Enfournez les tartinettes, thermostat 180°, entre 10 et 15 minutes.



Deuxième variante:
la tartinette saumon-mozzarella-herbes de provence
prenez une grande tranche de pain, posez-y une ou deux tranches de saumon. Recouvrez le tout d'une petite couche de crème fraîche puis parsemez de mozzarella coupée en tranche. Enfin, saupoudrez d'herbes de provence.
Enfournez les tartinettes, thermostat 180°, entre 10 et 15 minutes.


Personnellement, nous avons préféré les tartinettes saumon-muscade-gruyère, cette association permettant de relever le goût du plat.
Petit conseil: préférez un fromage ayant plus de goût que la mozzarella.

Partager cet article
Repost0