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20 novembre 2009 5 20 /11 /novembre /2009 16:44
La valse lente des tortues est la suite des yeux jaunes des crocodiles. Nous retrouvons donc dans ce roman les personnages du premier.
Joséphine a eu beaucoup de succès avec son livre, elle a donc déménagé avec ses deux filles dans Paris intra muros. Sa soeur a quant à elle été détruite par la révélation qui disait qu'elle n'avait pas écrit ce même livre et est en hôpital psychiatrique.
Hortense est partie en Angleterre faire ses études de stylisme.

Ce roman nous emmène sur la piste d'un tueur, ses actions sont un peu le fil rouge du livre et ça lui donne donc une autre dimension bien que l'on retrouve toujours les histoires d'amour de Joséphine et son côté fleur bleue.
J'ai trouvé que c'était une très bonne suite et je me demande d'ailleurs s'il ne va pas y avoir un troisième opus comme la fin peut nous le laisser espérer.

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19 novembre 2009 4 19 /11 /novembre /2009 18:35


Need for Speed Underground 2 est le premier jeu que j’ai acheté en février 2008.


Dans cet opus NFS on incarne un jeune pilote qui arrive en ville et qui veut se venger des Street Reapers  et de leur chef Caleb, groupe qui domine les courses underground. Il faut alors démarrer du bas, se faire connaître auprès des sponsors pour pouvoir se mesurer au boss de fin. Il faut relativiser pour le boss, car même en moyen c’est très facile de lui mettre la pâté.


J’avoue que j’ai un peu galéré au début, c’est mon premier jeu de voitures. Mais c’est un bon titre pour débuter en matière de voitures.

Les voitures sont faciles à prendre en main, il y un véritable confort. On peut les tuner à volonté.


Les épreuves sont assez diverses : course poursuite, sprint, drag, drift, circuit, course sur circuit. Mais en le refaisant une troisième fois les courses deviennent vite répétitives.

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18 novembre 2009 3 18 /11 /novembre /2009 18:15
Oui ce titre, c'est bien le générique d'Urgences, je vous le mets ici, vous comprendrez mieux.



Urgences, c'était l'une de mes séries préférées il y a quelques temps (bon après, on décroche, toussa toussa...).
Mais c'est aussi une petite entrée en matière pour vous raconter ma nuit de dimanche à lundi: hé oui, j'ai passé la moitié de la nuit aux urgences, pliée en deux parce que j'avais hyper mal à l'estomac. Bon, ne vous inquiétez pas, après deux perf et une prescription de médoc en poche, j'ai pu repartir vers 4h30 du matin. J'ai eu de la chance, il n'y avait pas beaucoup de monde.
Le résultat dans tout ça: un arrêt jusque lundi prochain et il est mérité parce que toute a journée de lundi j'avais encore bien mal. Bon, là ça commence à aller mieux, je peux marcher normalement :). Et puis une bonne nuit blanche, mais pas uniquement pour moi: Chiwi était là et il passait un concours mardi et mercredi....alala, on choisit pas quand ça vient mais quand même c'était pas trop le bon moment.

Sinon, je n'ai croisé ni Carter ni Benton....les urgences c'est plus ce que c'était ^^
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16 novembre 2009 1 16 /11 /novembre /2009 14:21

Dans une ville en Italie, un couple dont le mari travaille au Parti et elle qui est dans l’immobilier de luxe embauche un ami du mari pour administrer leur demeure. L’administrateur va tomber amoureux de la femme. Pour éviter toute histoire il se rend plusieurs par semaine chez une femme qui tient un chenil pour chiens en fin de vie. Leur relation purement platonique au début va se transformer en amour. Apprenant l’existence de l’autre femme, l’épouse va renvoyer l’administrateur.

 

Ayant lu une nouvelle de Balzac où la maîtresse n’était pas prise en compte, où elle n’avait pas d’existence, alors Elisabetta Rasy a décidé d’écrire ce court roman. Pour ma part je trouve l’absence de dialogue, l’absence noms pour les personnages masculins donne un ensemble impersonnel.

A vouloir faire un roman comme un hommage, ça donne quelque chose de dispensable.

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13 novembre 2009 5 13 /11 /novembre /2009 20:12
On savait déjà que ce que fait Charlie Winston c'était vraiment pas mal, grâce à Hobo.
Son dernier single " Kick the bucket" est vraiment bien aussi. Et le clip, tout simplement tordant et bien pensé.


Ha oui, et "kick the bucket" veut dire "casser sa pipe", ce qui explique le pourquoi du comment.
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12 novembre 2009 4 12 /11 /novembre /2009 08:15
La princesse et la paysanne

Deux filles du Mexique issues de milieux sociaux différents vont s'allier pour combattre les gringos qui prennent le contrôle de leurs banques dans le but de possèder des terres mexicaines pour y faire passer une ligne de chemin de fer. Elles vont braquer des banques afin de pouvoir racheter les terres des paysans. Mais le méchant yankee est prêt à tout pour les voir se balancer aubout d'une corde.

Penélope Cruz et Salma Hayek sont des actrices sérieuses mais elles ont dans ce film pour la rigolade. Lors du premier quart d'heure j'ai vraiment eu l'impression qu'elles surjouaient et qu'elles forçaient leur accent pour les rendre encore plus mexicaines.
Steve Zahn, toujours en second rôle décalé, est là juste pour savoir laquelle des deux est la plus hot embrasse le mieux. C'est sûr que sa blonde fiancée un peu nunuche ne fait pas le poid. Etonnant qu'il ne revienne pas au Mexique à la fin du film.
Quand on voit l'histoire j'ai l'impression que Besson, pour faire le scénario, a repompé celle de Viva Maria où deux jolies filles  (Brigitte Bardot et Jeanne Moreau) faisaient la révolution au Mexique.
Donc quand on sait que Besson est au scénario, il ne faut pas être étonné si les méchants cumulent tous les stéréotypes des westerns.
C'est distrayant de voir Penélope et Salma se crêper le chignon dans la poussière mais le tout reste quand même très mineur

Réalisé par Joachim Roenning et Espen Sandberg
Avec Salma Hayek, Penélope Cruz, Steve Zahn, Dwight Yoakam, Sam Shepard
Sortie: 18 janvier 2006
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11 novembre 2009 3 11 /11 /novembre /2009 20:48
Toâ, texte de Sacha Guitry, raconte l'histoire d'amour d'un écrivain. Assez compliqué à raconter, c'est l'histoire d'un quiproquo, de l'entrée en scène d'un personnage que l'on attend pas là.
Bon, je tente: l'acteur principal et l'auteur de la pièce de théâtre, il raconte sa séparation d'avec une femme qu'il aimait beaucoup. Il ne sait pas pourquoi elle est partie et utilise son histoire pour faire une pièce. Cette femme va entrer en jeu pendant la pièce et en devenir l'un des personnages (et là j'ai envie de dire toussa toussa...)

De toute façon, quand on sort de là, on se dit juste WAOUH!!!!!!!! La pièce est géniale pleine de bons mots et de rires, les acteurs sont extrêmement bons. Autant dire: j'ai vraiiiiiiiment adoré, si ça passe dans votre coin courez la voir!!!!
La mise en scène est vraiment bien pensée, le jeu des acteurs nous plonge tout de suite dans l'ambiance.

Vraiment, c'est un énorme coup de coeur....je pense d'ailleurs que je retournerai la voir dès qu'ils repassent par ici. Toutes les émotions envoyées par les acteurs tellement agréables à recevoir....quand j'en parle, j'en ai encore un petit quelque chose au coeur...je n'aurais jamais cru ça.


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10 novembre 2009 2 10 /11 /novembre /2009 19:05

Shizuku Kanzaki est le fils d’un œnologue reconnu mais il n’a aucun goût pour le vin. Lorsque son père décède il découvre qu’il a un frère adoptif. Le testament de son père lui fait l’obligation de découvrir douze grands crus pour pouvoir profiter de son héritage.



Lorsque les Gouttes de Dieu est paru en France il y a eu un gros buzz, alors je me suis dit que j’allais quand même m’y mettre.

Ça peut paraître étonnant un manga sur le vin, (c’est un peu comme si les brésiliens faisaient une BD sur les frites). Ce premier épisode est un une sorte d’initiation pour les novices : comment reconnaître un bordeaux d’un bourgogne grâce à la bouteille par exemple. Des efforts sont faits pour donner une idée du goût ressenti par les personnages lorsqu’ils boivent du vin. Ça donnerait presque envie de s'y mettre (de la publicité déguisée??). Bien sûr l’histoire peut paraître simplette, mais avec ce volume il y a une apparition d’enjeux que Shizuku ne connaît pas qui vont rendre intéressante la suite.

Par Tadashi Agi et Shu Okimoto


 


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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 21:20
Pour moi, Levi-Strauss c'est ça: "C'est dans la mesure même où l'on prétend établir une discrimination entre les cultures et les coutumes que l'on s'identifie le plus complètement avec celles qu'on essaye de nier. En refusant l'humanité à ceux qui apparaissent comme les plus "sauvages" ou "barbares" de ses représentants, on ne fait que leur emprunter une de leurs attitudes typiques. Le barbare, c'est d'abord l'homme qui croit à la barbarie."
Quand je lis, je ne peux que penser que c'était un grand, curieux et ouvert sur le monde. Peut- être que l'on devrait prendre un peu plus exemple sur lui.
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9 novembre 2009 1 09 /11 /novembre /2009 08:30

Pour quatre bricks à la kefta (ou plus, si les vôtres sont plus petites),  il vous faut :

400g de viande de bœuf hachée

un oignon

½ CC de gingembre

1,5 CC de mélange cinq épices (de celui que « c’est pas pour rien qu’il se décarcasse » :p)

du persil

4 feuilles de brick (ou plus, toujours si vous voulez en faire de plus petites)

 

Mélangez la viande avec les épices, le persil et l’oignon émincé.                                                                   Placez un peu de ce mélange sur le bout d’une feuille de brick, roulez-la deux ou trois fois, rabattez les deux bouts puis finissez de rouler (heu…c’est clair ? oO).

 Faites chauffer un peu d’huile dans une poêle, quand celle-ci est bien chaude, faites revenir les bricks en faisant bien attention à ne pas les laisser brûler.

 


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