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26 avril 2011 2 26 /04 /avril /2011 17:51

 

http://www.livraddict.com/biblio/couverture/couv72153849.jpg« Bird » Parker est devenu détective après que sa femme et sa fille se soient faites massacrer par un tueur en série surnommé le « Voyageur ». Au cours des ses investigations, il va se retrouver sur la trace du Voyageur qui a encore sévi. Il va alors se mettre à la recherche du tueur car l'éliminer sera ainsi un moyen pour lui de mettre fin à son sentiment de culpabilité consécutif à la mort de sa famille.

 

Le roman est divisé en deux parties : ce qui se déroule à New York et ce qui se passe en Louisiane, le lien entre les deux n'est pas explicite. Et il y a une certaine inégalité de qualité entre les deux parties.


La deuxième partie est la plus intéressante parce qu'elle s'intéresse plus au Voyageur, à sa psychologie, c'est un allumé sérieux.  


Tout ce qui meurt est un véritable ballet de mort, le voyage de Bird est jonché de cadavres.

 

3,5/5

 

 

Tout ce qui meurt (Every Dead Thing), John Connolly,France Loisirs, 2002, 558 pages

 

Lu dans le cadre du Challenge ABC

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25 avril 2011 1 25 /04 /avril /2011 09:33

Pour réaliser cette recette il faut :

 

- 75 g de beurre   
- 125 g d'amandes en poudre
- 20 g d'amandes effilées(ou concassées) pour la décoration
- 125 g de sucre en poudre
- 3 oeufs
- 3 cuillères à soupe rases de Maïzena
- 1 cuillère à soupe d'Amaretto (je n'en ai pas mis car je n'en avais pas sous la main, personnellement je trouve que l'on sent assez l'amende comme ça)

 

Faites ramollir les 75 g de beurre au bain-marie . Préchauffer le four thermostat 6 (180°C).
 
Dans un saladier, versez les amandes en poudre ; ajoutez les oeufs un par un en travaillant vigoureusement à la cuillère de bois.

Ajoutez peu à peu le sucre, puis la Maïzena, puis l'Amaretto. Travaillez le mélange en soulevant bien la pâte pour l'aérer. Terminez en ajoutant le beurre ramolli et travaillez la pâte à nouveau.

Versez la préparation dans le moule et mettez au four 35 minutes.

Démouler et laisser refroidir. Enlevez le papier sulfurisé lorsque le gâteau est froid. Vous pouvez décorer Décorer avec des amandes effilées.

 

Ce gâteau n'est pas très monté, je n'ai pas dû remuer assez les oeufs. Je pense que la prochaine fois je le ferai avec un batteur électrique. Sinon c'est le genre de gâteau qui remplit l'estomac et qui graisse les doigts.

 

pain de genes

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22 avril 2011 5 22 /04 /avril /2011 04:22

 

http://www.deslivres.com/images/products/image/la-conjuration-des-imbeciles_2.jpg« Décidé à ne fréquenter que mes égaux, je ne fréquente bien évidemment personne puisque je suis sans égal »

 

Il est bien difficile de résumer l'intrigue de la Conjuration des imbéciles.


Ignatius Reilly, énorme bonhomme de trente ans qui vit toujours chez sa mère, affublé d'une immonde casquette de chasse verte, équipé d'une montre Mickey Mouse, se voit obligé par sa mère de trouver un emploi. Mais étant un asocial caractéristique, son insertion dans le monde du travail ne se fait pas sans difficulté.


Car Ignatius est bavard et ne se prend pas pour de la merde. Ayant fait des études supérieures en littérature médiévale, il est au dessus de tout le monde. Ses pérégrinations vont le mettre au contact d'une galerie de personnages loufoques : l'agent Mancuso, le policier le plus incompétent de la Nouvelle Orléans que l'on force à porter des déguisements ; Burma Jones, le Noir qui passe le balai dans un boui-boui pourri sans en enlever ses lunettes de soleil; Darlène, la strip teaseuse qui se fait déshabiller par son cacatoès...


Les pérégrinations d'Ignatius lui permettent de se moquer des éléments que l'on peut retrouver dans une Amérique du début des années 60 : les beatniks, les chrétiens fondamentalistes, les flics.

 

Publié il y a trente ans, la Conjuration des imbéciles aborde, avec un humour et un ton décalé, des thèmes toujours d'actualité : emploi mal payé, la télévision, la société de consommation.

 

« Les conserves sont une perversion, dit Ignatius. Je soupçonne qu'en dernier ressort leur consommation est extrêmement dommageable pour l'âme. »

 

4,5/5

 

La conjuration des imbéciles (A Confederay of dunces), John Kennedy Toole, Robert Laffont, 1981, 404 pages


3863695305

 

 

Ce livre entre dans le Challenge nécrophile, catégorie auteur suicidé et mort avant l'âge de 35 ans.

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21 avril 2011 4 21 /04 /avril /2011 10:11

Voilà dès qu'il faut beau on baisse les vitres de la voiture pour faire de l'air et puis il y a la radio qui passe ce classique de Van Halen, un peu loin des morceaux du début, qui bouge toujours bien et qui incite à pousser un peu le son.

 

 

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20 avril 2011 3 20 /04 /avril /2011 15:15

Sonia emménage dans un appartement parisien avec son mari. On va suivre les suivre au cours des premières années de leur vie dans cet immeuble.

Une seule chose vient assombrir ce tableau qui pourrait être idyllique: leur voisin, veut monsieur veuf qui vient de perdre son fils. Il est seul, mal traité par sa belle-fille et par les concierges qu'elle emploie pour donner à manger au vieil homme.

 

Pleine de "bonnes intentions" l'héroïne de ce livre se montre naîve...ou trop gentille? Parfois, on a un peu envie de lui dire de se secouer et de ne pas se laisser faire. Parois, ça m'a semblé être un peu trop.

Malgré tout c'est un livre agréable à livre, le style fluide d'A. Desarthe est appréciable et ça me donne bien envie de lire d'autres livre de cette auteure.

 

http://medias.fluctuat.net/livres/113/11346-medium.jpg

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19 avril 2011 2 19 /04 /avril /2011 16:48

Le roman de Richard Mathesson publié en 1954 a fait l'objet de trois adaptations au cinéma. La première a été réalisée par Sydney Salkow en 1964 mais est très méconnue. La deuxième a pour titre Le Survivant (The Omega Man) et sort en 1971 et la troisième sort sous le titre Je suis une légende en 2007.


Les deux dernières adaptations bien que reprenant la trame du roman ne le reprennent jamais tout à fait.


 

http://content8.flixster.com/movie/25/61/256198_pro.jpgLe Survivant (The Omega Man) avec Charlton Heston est sûrement celle qui s'écarte le plus du roman. Le docteur Neville a survécu à une guerre biologique. Quasiment toute la population mondiale a disparu, il existe des survivants qui ont muté sous l'effet du virus. Ceux-ci sont maintenant des albinos nocturnes . Mais le film ne fait pas d'eux une nouvelle espèce mais une sorte de secte (ce n'est pas pour rien qu'ils s'appellent « la famille ») qui refuse toute modernité car celle-ci a apporté la destruction de l'humanité. Le seul but est de vouloir tuer Neville car il est le dernier représentant d'une humanité scientifique.


A part la solitude qui peut le ronger, le Neville interprété par Charlton Heston m'est apparu comme une sorte de surhomme. Il repousse comme un dieu les attaques des membres de la famille. Il existe quelques incohérences concernant l'alimentation en électricité : il n'est plus possible d'en produire sauf par la production par un générateur à essence mais les derniers humains arrivent à mettre en route les spots d'un stade.

 

Titre V.O. : The Omega Man

Réalisé par Boris Sagal

Avec Charlton Heston, Anthony Zerbe, Rosalind Cash, Paul Koslo

Sortie : 24 novembre 1971

 

http://www.imagesetmots.fr/images/je_suis_une_legende.jpgDans Je suis une légende (2007) , Neville doit affronter une armée de zombies noctambules, tandis que Matheson imaginait une humanité transformée en vampires. Ici Neville devient une légende car (attention spoiler) il réussit à découvrir un antidote au virus qui a ravagé l'humanité.


On voit tout de suite que les effets spéciaux sont pour beaucoup dans la création de New York abandonnée à la nature. Mais Will Smith interprète un Neville toute en sobriété. C'est même étonnant de le voir comme ça.

La fin est foireuse, tellement à côté de ce qu'avait pu donner à voir le film.


Titre V.O. : I'm a Legend

Réalisé par Francis Lawrence

Avec Will Smith, Alice Braga, Charlie Tahan

Sortie : 19 décembre 2007

 

 

Ces deux approches de la nouvelle « humanité » ne correspondent pas à ce qu'avait pensé Matheson. Car pour Matheson il fallait voir Neville comme une sorte de croque-mitaine: les vampires deviennent le nouveau genre dominant et l'homme devient une "légende" dans l'imaginaire des vampires comme ceux-ci l'étaient dans l'imaginaire des humains. 

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18 avril 2011 1 18 /04 /avril /2011 20:18

Parfois on a envie de se manger un petit hot dog, mais au carrouf du coin on ne trouve pas du tout de pains exprès! Du coup, on a tenté l'expérience de les faire nous-même.

 

Pour faire 6 gros pains à hot dogs (la prochaine fois, on en fera des plus petits parce que bon...), il vous faut:

- 850g farine

- un sachet de briochin (ou toute autre levure du même genre, on n'est pas sectaires!)

- 1,5 cc sel

- 2 cs sucre

- 1 oeuf entier

- 1 jaune d'oeuf

- 30g beurre mou

- 250 ml lait

- 240 ml eau

 

Placez dans le bol de la MAP (dans l'ordre préconnisé par le fabricant) les ingrédients suivants: la farine, la levure, le sel et le sucre. L'oeuf entier et le jaune d'oeuf, le lait et l'eau ainsi que le beurre coupé en dés.

Faites-la tourner en mode "pâte".

 

Dégazez puis faites des pâtons de même poids, laissez lever 5 minutes puis façonnez les pains. Placez-les sur la plaque de cuisson recouverte de papier sulfurisé et laissez-les à nouveau lever pendant 45 min.

 

Enfin, faites cuire pendant une quinzaine de minutes à 180°.

 

pains-hot-dog-copie-1

 

Recette issue du blog "Le pétrin".

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17 avril 2011 7 17 /04 /avril /2011 18:10

 

http://images-booknode.com/book_cover_sept_contre_thebes_43839_250_400Dans les années 50, Sam Vincent, un avocat, est chargé de trouver des éléments sur la mort d'un noir dans un bled paumé du Mississippi. En se rendant sur place il découvre la ferme pénitentiaire (pour hommes de couleur) de Thebes où des pratiques inhumaines sont mises en place. En essayant de faire changer les choses, il y est emprisonné. Son ami, Earl Swagger, monte une opération pour le sortir de là. L'opération permet la libération de Sam Vincent mais Swagger est capturé. Les gardiens vont lui faire subir les pires outrages pour le briser mais il réussit à s'évader. Il décide alors de recruter les meilleurs tireurs pour prendre et faire disparaître Thebes.

 

J'ai découvert la famille Swagger avec le film Shooter qui mettait en scène Bob Lee. Ici le roman a pour personnage principal Earl, le père de Bob Lee, policier et ancien marine.

Le résumé de la quatrième de couverture spoile l'ensemble du roman mais d'un autre côté une fois que l'on est dedans on n'y pense plus, on se laisse porter.

Il est un peu dommage qu'à l'intrigue viennent s'ajouter les personnages du docteur Stone et de Davis Trugood. Pour ma part je trouve qu'ils n'apportent pas grand chose à l'histoire. 

 

Sept contre Thebes est une variation du thème des Sept Mercenaires et le titre s'inspire de la pièce d'Eschyle.

Par contre j'ai retrouvé l'esprit Swagger : pour ces gens il n'y a pas de loi, donc il faut agir même si c'est illégal. Pour ce faire Earl Swagger réunit six des plus grands des tireurs des Etats-Unis, inspirés de personnages réels, le plus connu est Audie Murphy, l'acteur le plus décoré d'Hollywood (dont la Médaille d'Honneur).

 

4,5/5

 

Sept contre Thebes, Stephen Hunter, Ed. du Rocher, 2006, 538 pages

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14 avril 2011 4 14 /04 /avril /2011 16:29

http://imados.fr/history/39/pensees-secretes_couv.jpgUne écrivaine à succès accepte de donner des cours de création littéraire à l'Université de Gloucseter. Elle va faire la connaissance de Ralph Messenger, un spécialiste des sciences cognitives. Un jeu de séduction va commencer entre eux deux.

 

Au début le roman alterne les points de vue des deux principaux personnages qui racontent l'histoire par le biais d'un journal intime. Mais cela perd de sa saveur lorsqu'apparait un narrateur omniscient.


Les ressorts restent classiques et sans grande surprise. L'écrivaine qui accepte la relation adultérine parce que son mari l'a trompé et que la femme de son amant le trompe me semble bien trop cliché. Ce sont des justifications qui ne tiennent pas la route.


Le récit est alourdi par des récits des étudiants de l'écrivaine, à part un qui m'a fait rire je les ai trouvé déplacés et inutiles au déroulement de l'histoire.

L'accumulation des problèmes de Messenger à la fin du roman est de trop, pourquoi tout mettre à la fin ?


C'est un livre que j'ai lu mais dont je ne retiendrai pas grand chose.

 

2,5/5

 

Pensées Secrètes (Thinks...), David Lodge, Rivages, 2002, 389 pages

 

Lu dans le cadre du Challenge ABC

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12 avril 2011 2 12 /04 /avril /2011 16:10

http://img.clubic.com/0118000000104952-photo-fiche-jeux-rainbow-six-3-raven-shield.jpgUn homme d'affaire sud-américain, qui a un passé de nazi, décide de mettre des bombes un peu partout dans le monde. L'équipe de Rainbow Six, sorte de GIGN international, doit se charger de le mettre hors d'état de nuire.

splinter

Raven Shield est un FPS stratégique: pour gagner il ne suffit pas de buter tous les méchants, il faut encore mettre en place une stratégie qu'appliquera l'équipe que vous superviserez. Car l'équipe d'intervention peut comprendre jusqu'à huit bonhommes. Avant de se lancer à l'assaut il y a une phase de planification, phase fastidieuse et frustrante.J'ai eu beau penser chaque étape de l'assaut, j'ai toujours été à la merci du bon vouloir des équipiers. Ceux-ci buggent sans que l'on comprenne pourquoi : quatre gusses doivent passer une porte et nettoyer la pièce où il n'y a que deux terroristes, trois sont morts sur le pas de la porte.

Les missions manquent de variété : élimination des terroristes, sauvetage d'otages, déminage.

Sinon on peut appliquer les schémas préétablis. A part le déroulement des assauts il y a de bonnes possibilités, l'interface des ordres est facilement utilisable. L'arsenal est varié même s'il y a des petits délires comme la possibilité de mettre un silencieux à un AK-47.

Pour un scénario pensé par Tom Clancy, j'ai vu mieux (cf Splinter Cell ou ses romans). L'histoire manque de rebondissements et de complexité.

Raven Shield est sûrement un bon jeu, peut-être prenant, mais moi je n'avais pas l'envie de passer des heures à élaborer des stratégies qui ne marcheraient pas à cause des défauts des bots.

 


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